Maman Mana

Après le weekend de Pâques (weekend où nous avons fêté les 15 ans² de Tonton Killian. Oui au "²" parce que pour moi, il s'arrête à 15 ans. Il peut pas avoir 16 ans... Non, non ! Pas mon petit bébé de frère à qui j'ai changé les couches !! C'est pas possible !), Lylou a passé de superbes vacances chez ses grands parents paternels à Audiene. Moi, je suis resté quelques jours chez mes parents pendant que Zépoux rentrait à la maison s'occuper de son chat et reprendre courageusement le chemin de boulot après une semaine de vacances avec nous. Je suis allé la chercher le vendredi avec BbGu pour rentrer le samedi à la maison. Lylys s'est éclaté : plage, châteaux de sable, jeux au bord de l'eau (et dans l'eau vu qu'elle tombe dedans et se prend les vagues de plein fouet), cinéma, balades... Quand Aelys va à la plage, elle revient trempée de la tête aux pieds, ou presque ! Une fois de retour à la maison c'est direct la douche ! Je n&#

Après plusieurs semaines, je reprends le clavier... Je n'ai jamais cessé d'écrire ces derniers jours/semaines/mois mais sur papier, dans mon carnet. Je n'ai juste pas pris le temps/eu envie d'allumer mon ordinateur. Trop de choses en tête, trop de chagrins, de sentiments mitigés, de choses à mettre au clair avec/en moi-même. Ces 4 derniers mois ont été compliqués. La joie d'être de nouveau maman, de voir enfin mon fils, de devenir une femme et une maman comblée. Puis la douleur d'un perte immense. Du chagrin à ne plus savoir qu'en faire. Mon coeur qui saigne... Les phases du Deuil qui se succèdent, les étapes qui se suivent, se confondent... Un pas en avant, un en arrière, du sur place, puis un nouveau pas en avant, un regard en arrière tout en avançant parce qu'il le faut. S'occuper pour ne pas penser, ne pas craquer... Des larmes encore... Une nouvelle perte...  Des sentiments confus, mitigés... Un chagrin flou, se

Ma chère mamie Suzanne, Te voilà partie toi aussi... Ma maigre consolation est que toi au moins tu as eu le temps de faire la connaissance de ton arrière petit fils. N'allons pas nous mentir, nous ne nous sommes pas toujours bien entendu. Nos relations n'ont pas été faciles, la faute certainement à nos forts caractères à toutes les deux même si à ce jeux là tu étais gagnante. Souvent, tu me demandais d'où je pouvais bien tenir ce fichu caractère. Je ne répondais pas pour ne pas mettre d'huile sur le feu mais intérieurement je ne pouvais m'empêcher de sourire en me disant "Hmm... devine !". Nous n'avons pas su faire un pas l'une vers l'autre. Aucunes de nous et aujourd'hui c'est trop tard... Oh, des bons moments nous en avons eu bien-s û r ! Mais tu étais si secrète... Tu souriais lorsque je te posais des questions sur ta vie, ton passé. Tu me disais alors que tout ça c'était de vieilles histoires, à quoi bo